Quel bonheur de lire ce
passage de la Bible ! Alors que le texte a été écrit il y a plus de 2000 ans,
en le lisant j’ai eu l’impression qu’il a été écrit hier. Il m’a plongé dans
l’atmosphère de la Sainte Cène que nous partageons chaque dimanche. Je ne suis
pas théologienne, mais j’aimerais partager quelques idées qui m’ont traversé
l’esprit pendant cette lecture.
Quand je dis que je ne suis
pas théologienne, je ne serai en mesure de répondre aux juifs quand ils posent la
question « …comment peut-il nous donner sa chair à manger ? » (52).
Heureusement que Jésus lui-même a répondu à cette question « en vérité, en
vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si
vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous-même. Celui qui mange
ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au
dernier jour. » (53-54). Ce qui précède m’amène à partager mes ressenties
chaque fois que je participe à la Sainte Communion.
Au moment où nous sommes
autour de la table, je conçois ce moment comme un miroir dans lequel je
contemple mon seigneur qui est mort pour la rémission de mes péchés et pour la
vie éternelle. Je reste en communion avec notre seigneur en dehors de la table
sainte en écoutant par exemple les prédications en lisant la bible, en étant au
service de ceux qui sont dans le besoin et en témoignant au monde de cette
grâce salvatrice que notre seigneur nous a accorder.
Durant cette période de
l’année, si particulière, dans laquelle les chrétiens se remémorent ce que
jésus a enduré pour nous, j’aimerais conclure en vous invitant à cheminer
ensemble vers Pâques en nous appropriant cette histoire qui est la nôtre. Je ne
manquerais pas de vous partager la Cantique suivant que j’adore :
Redites - moi l’histoire
Redites- moi l’histoire de
l’amour de Jésus…
Holy
Communion - the Quartermasters Office in the stern, James McBey, 1917
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